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Affichage des articles du avril, 2019

Horreur !

Cameroun crise anglophone, Condamnation de ces Horreurs Un élément des forces de défense et de sécurité camerounaises décapité par des présumés séparatistes dans les régions anglophones du Cameroun

Une tête d'un soldat découverte à bamenda

Cameroun crise anglophone, Bamenda au rond-point de l'hôpital, une tête humaine d'un soldat a été laissée par des inconnus à bord d'une moto, qui a provoqué une fusillade sporadique et l'arrêt brutal des activités économiques dans cette partie de la ville.

Horrible, un gendarme décapité

Cameroun crise anglophone, Un acte horrible, Le corps du gendarme ADAM ASSANA enlevé la nuit dernière par des présumés séparatistes à muyuka, département du Fako, région du Sud-Ouest a été retrouvé aujourd'hui décapité, des parties du corps éparpillés dans la rue

Les civils sont toujours massacrés

Cameroun crise anglophone, Les forces de défense et de sécurité camerounaises continuent de tuer les civils NJONI HANS, connu sous le nom de Dada, a été tué par l'armée dans le village de Njanjan (LGA de MBONGE) ce matin.

Un agriculteur tué par des militaires

Cameroun crise anglophone, Un agriculteur dont le nom n'a pas été communiqué a été tué par des soldats alors qu'il se rendait à la plantation le matin 11 avril 2019. Cela s'est passé au mile 16 Buea.

Les militaires tuent un tradi-praticien

Un homme dont le nom est Dohseh Legki a été tué un matin dans sa maison par des forces de défense camerounaises à Bamenda à Church Centre à Small Mankon. L'incident a eu lieu le 10 avril 2019, vers 10 heures. Les habitants disent que l'armée le soupçonne de fournir une protection spirituelle appelée "Odeshi" aux garçons d'Amba (séparatistes). Sa maison a également été incendiée quelques minutes avant d'être abattu. Dohseh Legki serait un médecin traditionnel originaire de Balikumbat, département de Ngohketunjia.

L'armée camerounaise tue des civils à Ekona

Cameroun crise anglophone, Des civils tués à Ekona, département du Fako, région du Sud-Ouest Des déplacés internes, réfugiés dans des forets à Ekona sont tués par des forces de défense camerounaises le 14 avril 2019. Des enfants, des grand-mères, des mamans, des papas, des jeunes sont tués par des militaires camerounais. Une sale guerre déclarée par Biya transformée à huis-clos dans les régions anglophones. Les morts et les déplacés se comptent tous les jours.

Un garçon de 11 ans tué par des militaires

Cameroun crise anglophone, Des soldats ont tué un jeune garçon aujourd'hui dans l'arrondissement de Lassin-Noni. Shey Kinyoh, un garçon de 11 ans, a été tué alors que des militaires camerounais envahissaient la localité.

Horreurs en zone anglophone

Cameroun crise anglophone, Un charnier découvert à Ikiliwindi departement de la Meme, région du Sud-Ouest. Des corps en état de décomposition avancés  découverts dans la zone anglophone.

Des meurtres dans les régions anglophones

Cameroun crise anglophone, Un Inspecteur de police de 1er grade, au nom de Njatan a été tué par ses propres collègues de service le dimanche 7 avril 2019 à Molyko, Buea, ils l'ont confondu à un séparatiste.. Des civils tués par des forces de sécurité camerounaises et abandonnés ont découverts ce matin. Ce qui ressemblerait à un charnier

Les militaires tuent une jeune femme

Cameroun crise anglophone, Les habitants de Mbingo dans le Nord-Ouest, département Boyo sont dans une peur totale. Une jeune femme appelée Mbu Precilia a été tuée par des soldats camerounais hier à Mbingo. Elle en serait décédée des tirs militaires selon des témoins.

Une maman agressée à son domicile

MESSAGE DE AGBOR NKONGHO Il y a quelques jours, j'ai reçu ce message. J'ai parlé à la victime concernée et elle a corroboré l'histoire. Madame Ako Caroline a été agressée vers 20 h 30 à son domicile situé près du grand séminaire Bachou Ntai de Saint-Jean-Paul II à Mamfe Central par un groupe de quatre (4) garçons armés de sabres. Ils ont demandé de l'argent sous prétexte d'être des garçons d'Amba. elle avait quarante mille francs CFA (40000 Fcfa) qu'ils prennent et trouvent que cela ne suffisait pas. Comme elle ne pouvait pas donner plus d'argent, ils ont commencé à la battre à la machette. Elle a essayé de reconnaître l'un des garçons et l'un d'eux a voulu la décapiter mais elle a mis sa main droite pour assurer sa sécurité. Cela a entraîné la coupure de sa main. elle a crié au secours, les voisins sont venus et les agresseurs ont couru. Un prêtre l'a emmenée à l'hôpital Saint Jean de Dieu où les premiers soins lui ont été donné