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Articles

Affichage des articles du juin, 2022

Des soldats tués en zone anglophone

10.05.2022    Quatre militaires ont perdu la vie dans deux attaques perpétrées par des groupes sécessionnistes actifs dans les régions du Nord-Ouest et Sud-Ouest du Cameroun, zone en conflit depuis cinq ans. « Lundi, un groupe terroriste séparatiste a attaqué, à l’aide d’un engin explosif, des militaires qui effectuaient une patrouille dans un village dans le département du Lebialem », a indiqué à l’Agence Andolu , William Ekema, préfet du Lebialem. Selon cette autorité, deux militaires ont été mortellement atteints par l’explosion. Dans le Nord-Ouest anglophone du pays, deux autres militaires ont été tués, lundi, dans une autre attaque attribuée par les autorités aux « Amba boys » (sécessionnistes). « Dans la localité de Jakiri, département du Bui, deux militaires sont tombés dans une embuscade et ont été tués », a affirmé le maire de Jakiri, Wirngo Buba Kibo, joint par l'Agence Anadolu. Selon plusieurs sources non-officielles, les séparatistes ont aussi tué trois civils, lundi, à

Des gendarmes tués à Kouoptamo dans l’Ouest Cameroun

Des sécessionnistes anglophones ont attaqué, dans la nuit de mardi à mercredi, le poste du Groupement polyvalent d'intervention de la gendarmerie camerounaise (Gpign), situé dans la localité de Kouoptamo dans le département du Noun, région du l’Ouest du Cameroun, a-t-on appris des autorités locales. Journal camerounais "Mutations" - Des gendarmes tués à Kouoptama « Tard dans la nuit de mardi, les séparatistes ont attaqué notre poste de gendarmerie. Le poste a été incendié avec des gendarmes à l’intérieur. Après l’attaque et le retrait des assaillants, la population s’est dirigée vers le poste de gendarmerie. Elle a trouvé les corps de cinq gendarmes », a indiqué à l’agence, Njoya Ousmanou, maire Kouoptamo. L'attaque et le bilan ont été confirmés à l’Agence Anadolu par le commissaire Serge Tchuente Fohom du commissariat de sécurité publique de Foumbot qui a souligné, par ailleurs, que les deux survivants de cette attaque sont sous soins intensifs dans un centre hospi