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Articles

Affichage des articles du mars, 2020

Un civil tué à Bambui

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Un civil retiré de sa maison, abattu par balle par des présumés militaires. Cela s'est passé au mile 10 Bambui Tubah LGA.

groupe de jeunes massacrés à Ngie

Massacre à Ngie   Un groupe de jeunes inoffensifs auraient été assassinés par des soldats à Ngie (département de la Momo, région du Nord-Ouest).  Les rapports indiquent que les soldats ont demandé aux jeunes de leur montrer les camps des séparatistes ambazoniens, ils ont répondu ne pas savoir.  "C'est sur ce point qu'ils ont tous été tués", a raconté des proches des défunts.  

Une femme tuée en allant au champ

Ndu. [Ndonga-Mantung, Nord-Ouest]  Le corps sans vie d'une femme atteinte de balles sur le chemin de la plantation par des soldats camerounais .  Les rapports indiquent que les soldats tiraient sans discernement avant que le pauvre femme ne soit touchée. Ces soldats ont eu de profonds remords en disant que l'incident s'est produit par erreur, ont ajouté les rapports. Cependant, les villageois autour de cette zone sont restés stupéfaits car les mêmes soldats ont pris des photos de cette femme décédée pour les utiliser dans leur propagande.

Engin explosif improvisé à Bamenda

GROSSE EXPLOSION À Bamenda ! L'explosion d'un engin explosif improvisé (EEI) à Bamenda, a eu lieu à environ 100 mètres en face du lieu de la cérémonie, l'avenue commerciale, lorsque le gouverneur du Nord-Ouest, Adolphe Lélé Lafrique prononçait le discours du 8 mars de la journée internationale de droit des femmes. Les assaillants, des présumés combattants d'Ambazonie, se trouvaient à moto en direction de la ville et auraient téléguidé l'explosif avant de s'enfuir par la grande route à deux voies de l'avenue commerciale. Au total, 8 personnes ont été blessées; 5 soldats, 1 civil et 2 policiers. Deux des soldats ont subi une amputation presque totale des jambes, trois autres ont été blessés aux bras, aux jambes et au visage, deux policiers et un civil ont été légèrement blessés. Ils ont été transportés à l'hôpital régional de Bamenda en attendant l'évacuation des blessés graves par hélicoptère. *Avec cna news | Daniel Essissima

Un massacre à Wum

Wum encore en larmes ! [5 mars 2020] Un massacre à Wum par Menchum Les informations indiquent que trois hommes et une femme ont tous été retirés de leurs maisons dans le village de weh puis tués sur le campus GBHS par des présumés militaires sur des allégations selon lesquelles ils étaient des combattants séparatistes d'Ambazonie.  "La découverte de ces personnes décédées a envoyé une vague de chagrin à travers ce village et une haine brûlante pour Biya et son régime", a noté un témoin oculaire.

Opération militaire à Babanki, les ONG parlent de victimes civiles

Plus d’une dizaine de personnes ont été tuées lors d’une opération militaire en zone anglophone samedi 29 février dans la région du Nord-Ouest. L’armée parle d’une opération contre des combattants séparatistes anglophones. Les ONG parlent de victimes civiles. Selon l’armée, l’opération militaire visait des combattants séparatistes dans le village de Babanki, à environ 40 km au nord de la ville de Bamenda. Une opération en représailles à une attaque menée 48 heures auparavant par des séparatistes anglophones sur une position de l’armée à quelques kilomètres de là. Lors de cette opération samedi, les militaires sont entrés dans le village vers 2 heures du matin et ont ciblé quelques habitations. Selon un porte-parole de l’armée, dix combattants, des terroristes « ambazoniens » ont été neutralisés. Parmi lesquels se trouvait un leader séparatiste, le général Fire. Des armes, des AK-47 ont également été saisies. Mais selon plusieurs organisations de la société civile, le bil

Massacre à Babanki

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun - Massacre à Babanki [Vidéos]  APRÈS LE MASSACRE DE NGARBUH:  Des militaires auraient tué 15 personnes à Babanki Des vidéos d'horreur sur le massacre de Babanki le 29 février 2020. 15 civils tués dont des enfants et des femmes [une mère allaitant un bébé] par la présumée armée camerounaise.