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Articles

Affichage des articles du février, 2022

Sako Ikome destitué

L'Ambazonie a un nouveau président Dr TITA et un nouveau vice-président Iya Marianta président Dr TITA vice-président Iya Marianta Le 2 février, le bras législatif du gouvernement intérimaire autoproclamé d'Ambazonie, connu sous le nom de Conseil de restauration, a voté pour destituer Sako Ikome.                                    Le Conseil de restauration accuse Ikome de corruption, de détournement de fonds et de transactions illégales avec le gouvernement du Cameroun.  Ikome a nié les accusations.                                                                                                                                                                                  Des groupes séparatistes anglophones rivaux au Cameroun se sont affrontés ce mois-ci, faisant un nombre indéterminé de victimes.  Les combats ont été déclenchés par des luttes de pouvoir au sein du mouvement séparatiste.  Les dirigeants séparatistes affirment que les rivalités entre divers groupes armés affe

Fête de la jeunesse au Cameroun, origines

Les origines de la fête de la jeunesse au Cameroun La première édition de la fête de la jeunesse a eu lieu le 11 février 1966 sous la direction du ministre de la jeunesse de l’époque Félix Tonye Mbock, avec pour thème "Jeunesse et prise de conscience". Mais il faut préciser que du côté Cameroun Occidental (anglophone) la fête de la jeunesse ''Youth Day'' était déjà célébrée les 11 février de chaque année (depuis 1964) et en même temps ce moment marquait aussi par des festivités le jour du oui lors du référendum du 11 février 1961. Le président Ahmadou Ahidjo a donc voulu que le 11 février soit un jour de fête commune célébrant les retrouvailles des jeunes des deux rives du Moungo séparés par les colons. Et aussi pour ne pas oublier ce moment dit douloureux où le Northen Cameroon vota pour l'intégration au Nigeria (effectif le 1er juin 1961 et deuil national décrété), il décide de faire de ce jour, une période festive commune, c’est ainsi que le 11 février

Deuil national décrété par Ahmadou Ahidjo

  C'est le 1er juin et non le 11 février le deuil national décrété par Ahidjo Ahmadou Ahidjo accueilli à sa descente d'avion à Buea par John Ngu Foncha. Ahidjo venait assister aux cérémonies marquant la fin de tutelle du Royaume-Uni sur le Southern Cameroon, le 1er octobre 1961 Le gouvernement d’Ahmadou Ahidjo décréta une journée de deuil national le 1er juin 1961, à l’occasion de l’intégration du Cameroun septentrional à la Fédération nigériane. À la suite de nombreux débats au Conseil de tutelle de l’Organisation des Nations unies (ONU) au cours des années 1950, et conformément à la résolution 1352 (XIV) des Nations unies du 16 octobre 1959, les deux territoires sous tutelle britannique furent appelés à se prononcer sur leur avenir, au cours de référendums organisés les 11 et 12 février 1961. Ils offraient le choix entre un rattachement à la République du Cameroun, indépendante depuis le 1er janvier 1960, et une intégration à la Fédération du Nigeria, indépendante depuis le 1

Le Royaume-Uni soutient le régime Biya

  Ce que pensent les diplomates britanniques de la crise anglophone d'après l'enquête de Declassified UK La Reine Elizabeth II de Grande-Bretagne reçoit le Président de la République du Cameroun, M. Paul Biya GCMG, et Mme Chantal Biya, au Palais de Buckingham, à Londres. « Declassified obtient des documents révélant le rôle militaire secret du Royaume-Uni dans l'État policier africain (Cameroun) Un officier des forces spéciales britanniques a rédigé une doctrine de "gestion de crise" pour le dictateur camerounais Le conseiller militaire britannique entretient des relations étroites avec le bras droit et chef des espions (agence de renseignement) de Biya Ces documents fournissent un aperçu rare de la vision du ministère des Affaires étrangères sur le conflit d'Ambazonie. La région était autrefois une colonie britannique appelée Southern Cameroons. Lors des négociations d'indépendance en 1961, la population locale a voté pour rejoindre la partie francophone