Crise anglophone au Cameroun

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Un massacre après Ngarbuh, au moins 10 civils tués aujourd'hui à Babanki Le 29 février 2020, dans le village de Babanki dans le Nord-Ouest. Des militaires ont envahi la localité à la recherche des séparatistes ambazoniens.  [4 enfants, 3 femmes et 4 hommes ont été tués] Des militaires ont intervenu dans la zone après le meurtre de deux de leurs frères d'armes et d'un autre décapité dans la région du Nord-Ouest. Le camp d'un «général ambazonien» attaqué et tué ainsi que certains de ses combattants à Babanki. Sauf qu'on dénombre aussi des civils parmi les morts.

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  La déshumanisation...la tête d'un militaire coupée..et présentée par des separatistes ambazoniens  Une video choquante des separatistes ambazoniens à Widikum [Nord-Ouest, département de la Momo] tenant la tête d'un soldat.  À quand la fin de cette sale guerre ?

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  La semaine du 23 au 24 février 2020 à Upenda Bamenda du village de Mendakwe. La localité se trouve à moins de 10 kilomètres de la résidence du gouverneur du Nord-Ouest Adolphe Lele Lafrique à Upstation Bamenda. D'après ce que les séparatistes ambazoniens [amba-boys] disent dans la vidéo — les militaires sont venus là pour ouvrir un petit poste militaire et eux [les amba-boys] les ont été attaqués par surprise faisant des morts, certains militaires ont fui en prenant la brousse.

Ngarbuh , une tuerie de trop dans le conflit armé en cours dans la partie anglophone du Cameroun  Les photos désespèrent ceux qui les regardent. Elles tournent sur les réseaux sociaux depuis le massacre de Ntumbo, le 14 février, où 23 civils ont été tués, dont 15 enfants. Elles montrent des femmes et des enfants gisants dans leurs vêtements colorés, des petits bouts calcinés, des visages défigurés par l’horreur de la mise à mort. On y voit aussi un prêtre accueilli par les sanglots déchirants des familles en deuil. Des témoignages concordants et alarmants « Entre 4 et 5 heures du matin, une quarantaine de soldats sont entrés à Ntumbo, ils poursuivaient un groupe rebelle Mbororo. Ils s’en sont pris à la population du quartier de Ngarbuh, brûlant des maisons, tuant sans distinction les civils : au moins 23, dont 15 enfants et deux femmes enceintes. C’est sans compter ceux morts en brousse des suites de leurs blessures » , confie à  La Croix  un enquêteur international. Paul, o

Cameroun | « La protection des civils est notre préoccupation fondamentale » 23 personnes ont été tuées vendredi dans l’attaque d’un village dans la région anglophone du Nord-Ouest du Cameroun. Cette attaque « est un épisode choquant dans la crise actuelle qui touche les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du pays depuis trois ans », s’est indigné le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) qui a demandé mardi l’ouverture d’une enquête indépendante et impartiale. On écoute Matthias Behnke, chef de la section Afrique de l’Ouest et centrale au HCDH. Propos recueillis par Alpha Diallo d'ONU Genève/ONU Info. https://news.un.org/fr/audio/2020/02/1062051

Au Cameroun, cinq jours après le massacre de 23 personnes dans la région anglophone du pays, les témoins pointent du doigt l'armée. L'ONU demande l'ouverture d'une enquête indépendante. [Vidéo FRANCE24, DW] ************************* RENE EMMANUEL SADI MINISTRE DE LA COMMUNICATION ET PORTE PAROLE DU GOUVERNEMENT CAMEROUNAIS S'EXPRIME SUR LE MASSACRE DE NGARBUH-NTUBAW OÙ DES CIVILS ONT ÉTÉ TUÉS DONT DES ENFANTS Mesdames, Messieurs ; Les Forces Nationales de Défense et de Sécurité viennent une fois de plus de faire l’objet d’affabulations et d’allégations mensongères, dans la lutte qu’elles mènent pour un retour à la vie normale dans les Régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest de notre pays. En effet, des images d’une cruauté insoutenable ont circulé en boucle dans les médias sociaux, le samedi, 15 février 2020, laissant entrevoir des corps calcinés, tout en indiquant qu’il ne s’agissait là que d’un reflet « du massacre des populations, perpétré la veille, au vil

Massacre dans le Nord-Ouest du Cameroun:  le Haut-Commissariat des NationsUnies aux droits de l'homme demande instamment aux autorités camerounaises de veiller à ce que l’enquête soit indépendante, impartiale et approfondie.. 23 personnes, dont 15 enfants, ont été tuées le 14 février 2020 dans le village de Ngarbuh, dans la région du Nord-Ouest du Cameroun. Neuf de ces enfants étaient âgés de moins de 5 ans. Parmi les victimes figuraient également deux femmes enceintes. L’une d’entre elles est décédée des suites de ses blessures à l’hôpital. Cette attaque « est un épisode choquant dans la crise actuelle qui touche les régions du Nord-Ouest et du Sud-Ouest du pays depuis trois ans », a déclaré mardi Ruppert Colville, le porte-parole du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme ( HCDH ), lors d’un point de presse à Genève.  Le HCDH a pris note de l’annonce faite par le gouvernement camerounais de l’ouverture d’une enquête sur ces meurtres dont les conclusions

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Au moins 27 civils dont des enfants ont été tués à Ngarbuh, Ntumbaw dans l'arrondissement de Ndu, département de Donga Mantung, région du Nord-Ouest le 14 février 2020, par des présumés militaires camerounais, des maisons incendiées, du bétail tué... ******* Quelques noms des 27 personnes tuées dont des enfants ce 14 février 2020 à Ngarbuh, Ntumbaw dans le département de Donga-Mantung par des militaires camerounais : Awudu, Abdul Sunjo, Kwicherreh, Yaya, Sikah, Justin, Alidou Bah, Kinuyui, Manjo Seka, Ringyu, Mami Suley, Ngond Hassana (la femme enceinte). Ils ont été enterrés dans des fosses communes (photos ci-dessous). ********* Des enquêteurs employés de l'ONU qui menaient une mission sur les tueries de Ngarbuh, Ntumbaw dans le département de Donga-Mantung, Nord-Ouest où au moins 32 personnes dont des enfants ont été tués, ont été stoppés par des soldats au palais de Ntumbaw. Des soldats affirment que l'équipe

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Les separatistes anglophones [amba-boys] ont arrêté 4 personnes soupçonnées de collaborer avec l'armée et le sous-préfet de la localité (Balikumbat)