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Articles

Affichage des articles du 2020

Cameroun anglophone : des hommes armés tuent 8 enfants dans une école à Kumba

 « Le département de la Meme vient d’être frappé durement… Ces gens seront rattrapés par tous les moyens », a fait savoir Chamberlain Ntou Ndongo, le préfet du département de la Meme, une localité de la région anglophone du Sud-Ouest. Les circonstances de l’attaque ne sont pas encore connues, mais les soupçons se portent sur les « Ambaboys », des miliciens qui revendiquent l’indépendance des régions anglophones du Cameroun et qui interdisent aux populations, sous peine de représailles, d’envoyer leurs enfants à l’école. Le préfet de la Meme invite les parents un maximum de vigilance et à collaborer avec les autorités afin d’éviter que de telles situations ne se répètent. L’école attaquée n’était pas connue des autorités, selon le responsable administratif. Ce qui justifierait l’absence d’un dispositif de sécurité. Daniel Essissima

Des élèves tués en zone anglophone du Cameroun

Au moins huit écoliers du groupe scolaire Mother Francisca Memorial College de Kumba ont été tués et une dizaine de blessés.  Samedi 24 octobre 2020, des hommes armés ont pris d'assaut le campus de l'école en tirant dans tous les sens sur des écoliers en plein cours. Aucun groupe séparatiste ambazonien n'a revendiqué la responsabilité. Des images de certaines victimes décédées lors de la fusillade dans l'école de Kumba - montrent des enfants abattus dans leurs salles de classe -, certains sont morts à côté de leurs livres. Du sang sur les bancs de classe alors que la population regarde avec étonnement. Les élèves gravement blessés sont pris en charge à l'hôpital de District de Kumba tandis que les corps sans vie ont été déposés à la morgue. Daniel Essissima

La politique de la terre brûlée

La guerre à huis-clos en zone anglophone continue de décimer des populations en laissant que désolation. Adere, un village d'Ako dans le Donga-Mantung région du Nord-Ouest (frontière avec le Nigeria) 5 personnes ont été tuées, plusieurs maisons incendiées.  Parmi les personnes tuées se trouve Pa Nji Tabor, un homme de 60 ans. Il laisse derrière lui deux femmes et de nombreux enfants et amis pour le pleurer. Daniel Essissima

Les séparatistes ambazoniens tue un sapeur pompier

Le caporal SOKMAN a été tué ce mardi matin à Mulan, Bamenda par des separatistes ambazoniens.  Le caporal SOKMAN. Sapeur Pompier  Il était un pompier, un agent du feu en service aux sapeurs pompiers de Bamenda. Le caporal SOKMAN tué par des separatistes ambazoniens  Le caporal SOKMAN gisant dans une mare de sang  L'armée a fait une descente, sur les lieux et plusieurs motos et comptoirs ont été brûlés. Cette sale guerre à huis-clos, ne fait que désolation.... 

Un jeune tué à Ekondo Titi...

Il s'appelait Nsongo Deline, tué par des présumés militaires dans le village du Premier ministre, Joseph Dion Ngute Bongongo 1 Barombi à Ekondo Titi, Sud-Ouest.  Le jeune homme a quitté Buea pour une visite mais a rencontré la mort. Il était actif sur le réseau social Facebook, quelques minutes avant sa mort. 

Trois paysans tués...!!

Le samedi 22 août 2020, trois paysans ont été tués par des présumés militaires qui ont envahi Ikiliwindi, arrondissement Konye, ​​département Meme, région du Sud-Ouest. Les habitants ont fui dans les buissons alors que les militaires étaient à la recherche des séparatistes ambazoniens. 

L'armée déchaîne la terreur sur la population vulnérable de Muyuka

Des militaires ont envahi Ikarta dans l'arrondissement de Muyuka, tué quatre hommes et incendié des maisons, poussant des civils de s'enfuir dans des buissons pour sauver leur vie. La mort de Comfort Timasam a poussé les soldats à déchaîner leur colère sur la population. Depuis vendredi, il y a eu des coups de feu, des arrestations, des tortures et des meurtres. Plus de 10 personnes ont déjà été tuées tandis que de nombreuses autres se trouvent dans des cellules. Daniel Essissima

Des sauvages en tenu militaire !

Des militaires camerounais réalisent une vidéo en train de torturer un corps sans vie non identifié dans une localité appelée Mitayen Roundabout pas loin d'un bar appelé Kawasaki à Pinyin, dans l'arrondissement de Santa, la région du Nord-Ouest. Dans la vidéo de 3 minutes et 17 secondes, on entend des soldats dirent :  « Il a pris son petit-déjeuner du matin (..) vous dites que vous êtes Amba, nous allons tous vous tuer (..)  » Un autre soldat a crié :  « Tirez-lui sur la tête (..) Donc votre arme n'est pas chargée ? » Un troisième a répondu : « Arrêtez d'abord d'enregistrer la vidéo » Le corps a de nouveau été abattu et deux soldats ont traîné le cadavre sur le sol sur environ 100 mètres.

Des corps retrouvés dans des rivières en zone anglophone

Corps retrouvé dans une rivière, à Nkwen, Bamenda Nord-Ouest.  Un autre corps retrouvé à Bafut dans le Nord-Ouest  http://www.cameroon-info.net/article/cameroun-crise-anglophone-un-civil-tue-et-decapite-a-ndop-nord-ouest-par-des-separatistes-380040.html   https://www.chrda.org/we-call-on-armed-separatist-fighters-to-stop-human-rights-abuses-in-the-anglophone-regions-of-cameroon/

Une jeune fille tuée !!

Crise anglophone - Une jeune fille tuée aux environs de Bamenda  Elle s'appelait Trésor, elle aurait été utilisée comme une espionne pour infiltrer les amba-boys. Cette sale guerre à huis-clos déclarée par Biya continue de décimer des populations en laissant que désolation .. https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=3092223910873465&id=100002576595361 https://kontripipo.com/treasure/ Daniel Essissima

Un civil tué à Ntarinkon-Bamenda

CONFLIT ARMÉ DANS LA PARTIE ANGLOPHONE DU CAMEROUN  UN CIVIL TUÉ À NTARINKON-BAMENDA  Des hommes armés non identifiés ont fait descendre un civil de la moto, puis tué à (New Simplicity) Ntarinkon-Bamenda le 18 juin 2020. L'identité de la victime n'est pas connue. Les rues de Ntarinkon sont vides de peur de l'inconnu.

Des morts et encore des morts !

Un soldat tué dans le conflit armé en cours dans la partie anglophone du Cameroun  Des séparatistes armés ambazoniens dans l'arrondissement de Ndu ont tué un soldat (sergent) le 17 juin 2020. Le soldat était en civil en train de recueillir des informations, selon une source.  Des soldats ont tué ce mercredi deux femmes dans l'arrondissement Ngarum Ndu et en ont arrêté plusieurs.

Civils non armés à Muambong-Village, région sud-ouest tués par l'armée

La CHRDA condamne fermement le meurtre de civils non armés à Muambong-Village, région sud-ouest par les Forces de défense et de sécurité du Cameroun Le mercredi 22 avril 2020, les forces de défense et de sécurité de l'État ont mené une opération offensive dans le village de Muambong, situé à Bangem, division Kupe-Muaneguba de la région sud-ouest. Cette opération surnommée «l'opération de maintien de l'ordre» a vu l'exécution horrible de six (6) jeunes hommes non armés, dont quatre ex-combattants qui ont déposé les armes depuis 2019. Ces garçons ont été exécutés à l'aide d'un couteau  , et une hache saisie sur l'un des habitants du village en fendant du bois de chauffage vers 6 heures du matin.  Pour documenter ce cas, CHRDA a interrogé plus de 10 témoins oculaires et victimes qui ont donné des témoignages corroborants et des détails sur l'incidence, des images amateurs ont également été analysées.  Les soldats ont attaqué le village vers 2 heures

Arrestation du capitaine...

LE CAPITAINE JACQUES TCHENEM VALKOSSA QUI A DÉCAPITÉ UN CIVIL ET TUÉ UNE MÈRE DE TROIS ENFANTS A BAFUT A ÉTÉ ARRÊTÉ Dans un communiqué lu à la chaine publique Crtv en début de soirée du 27 avril 2020, le ministre de la défense (Mindef), Joseph Beti Assomo, a ordonné l'arrestation du capitaine Jacques Tchenem Valkossa pour décapitation d'un civil et meurtre d'une mère de trois enfants dans la région du Nord Ouest. Le Mindef informe que le capitaine Valkossa du quatrième Bataillon d'intervention rapide amphibie a dirigé une équipe de sept soldats qui ont ouvert le feu sur une fermière aujourd'hui (27 avril 2020 NDLR) et décapité un civil soupçonné d'être un chef d'un groupe séparatiste. Ses collègues en colère, poursuit Joseph Beti Assomo, ont signalé la décapitation à leur hiérarchie. Le capitaine Valkossa a été désarmé et déporté à Yaoundé pour être jugé par le Tribunal militaire la semaine prochaine. https://www.anglophonecrisis.com/2020/04/pendan

Pendant ce temps les meurtres continuent dans le Nord-Ouest et le Sud-Ouest

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Un homme d'une trentaine d'années Ngwa  Pius a été décapité la nuit dernière (dimanche 26 avril 2020) par des  présumés militaires et sa tête a été mise sur un piquet autour de l'hôpital catholique de Mambu Bafut, dans la région du Nord-Ouest. L'armée est descendue depuis dimanche 26 avril 2020 à Bafut à la recherche des séparatistes ambazoniens. Des maisons ont été incendiées et des personnes abattues.

La guerre continue au NoSo malgré le Covid-19

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Depuis que le Secrétaire général de l'ONU a appelé à un cessez-le-feu dans les zones de conflit dans le monde suite à la pandémie coronavirus COVID-19, les militaires dans la zone anglophone semblent s'être retirés tactiquement des zones urbaines et se sont rendus dans la périphérie où les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité ont continué de prendre le devant de la scène. Au moins quatre civils ont été exécutés sommairement par des soldats à Okoyong, arrondissement Mamfe, département Manyu, dans la région sud-ouest. Les jeunes hommes ont été tirés d'un restaurant local et abattus à bout portant pour avoir refusé de montrer où se cachaient les séparatistes ambazoniens. Au moins trois séparatistes ambazoniens ont été tués à Bome, Mbengwi, région nord-ouest. Ils ont attaqué des soldats de Mbengwi en patrouille. Deux soldats sont tombés sur le champ de bataille à Kumbo dans une bataille acharnée av

Un civil tué à Bambui

Conflit armé dans la partie anglophone du Cameroun  Un civil retiré de sa maison, abattu par balle par des présumés militaires. Cela s'est passé au mile 10 Bambui Tubah LGA.

groupe de jeunes massacrés à Ngie

Massacre à Ngie   Un groupe de jeunes inoffensifs auraient été assassinés par des soldats à Ngie (département de la Momo, région du Nord-Ouest).  Les rapports indiquent que les soldats ont demandé aux jeunes de leur montrer les camps des séparatistes ambazoniens, ils ont répondu ne pas savoir.  "C'est sur ce point qu'ils ont tous été tués", a raconté des proches des défunts.  

Une femme tuée en allant au champ

Ndu. [Ndonga-Mantung, Nord-Ouest]  Le corps sans vie d'une femme atteinte de balles sur le chemin de la plantation par des soldats camerounais .  Les rapports indiquent que les soldats tiraient sans discernement avant que le pauvre femme ne soit touchée. Ces soldats ont eu de profonds remords en disant que l'incident s'est produit par erreur, ont ajouté les rapports. Cependant, les villageois autour de cette zone sont restés stupéfaits car les mêmes soldats ont pris des photos de cette femme décédée pour les utiliser dans leur propagande.

Engin explosif improvisé à Bamenda

GROSSE EXPLOSION À Bamenda ! L'explosion d'un engin explosif improvisé (EEI) à Bamenda, a eu lieu à environ 100 mètres en face du lieu de la cérémonie, l'avenue commerciale, lorsque le gouverneur du Nord-Ouest, Adolphe Lélé Lafrique prononçait le discours du 8 mars de la journée internationale de droit des femmes. Les assaillants, des présumés combattants d'Ambazonie, se trouvaient à moto en direction de la ville et auraient téléguidé l'explosif avant de s'enfuir par la grande route à deux voies de l'avenue commerciale. Au total, 8 personnes ont été blessées; 5 soldats, 1 civil et 2 policiers. Deux des soldats ont subi une amputation presque totale des jambes, trois autres ont été blessés aux bras, aux jambes et au visage, deux policiers et un civil ont été légèrement blessés. Ils ont été transportés à l'hôpital régional de Bamenda en attendant l'évacuation des blessés graves par hélicoptère. *Avec cna news | Daniel Essissima

Un massacre à Wum

Wum encore en larmes ! [5 mars 2020] Un massacre à Wum par Menchum Les informations indiquent que trois hommes et une femme ont tous été retirés de leurs maisons dans le village de weh puis tués sur le campus GBHS par des présumés militaires sur des allégations selon lesquelles ils étaient des combattants séparatistes d'Ambazonie.  "La découverte de ces personnes décédées a envoyé une vague de chagrin à travers ce village et une haine brûlante pour Biya et son régime", a noté un témoin oculaire.

Opération militaire à Babanki, les ONG parlent de victimes civiles

Plus d’une dizaine de personnes ont été tuées lors d’une opération militaire en zone anglophone samedi 29 février dans la région du Nord-Ouest. L’armée parle d’une opération contre des combattants séparatistes anglophones. Les ONG parlent de victimes civiles. Selon l’armée, l’opération militaire visait des combattants séparatistes dans le village de Babanki, à environ 40 km au nord de la ville de Bamenda. Une opération en représailles à une attaque menée 48 heures auparavant par des séparatistes anglophones sur une position de l’armée à quelques kilomètres de là. Lors de cette opération samedi, les militaires sont entrés dans le village vers 2 heures du matin et ont ciblé quelques habitations. Selon un porte-parole de l’armée, dix combattants, des terroristes « ambazoniens » ont été neutralisés. Parmi lesquels se trouvait un leader séparatiste, le général Fire. Des armes, des AK-47 ont également été saisies. Mais selon plusieurs organisations de la société civile, le bil